La seule chose qui me fait mal c’est de repenser à notre discussion d’avant. Imaginer qu’il parte loin de moi me brise le cœur mais je chasse cette idée de ma tête. Je sais que je devrais l’affronter mais pas maintenant. Ça me rappelle notre séjour à Rome. Je repousse un maximum l’échéance mais on sait tous les deux que ça va mal finir et cette fois, il n’y aura aucun retour en arrière possible.