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Critiques de Farid Alilat (5)
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Bouteflika : L'histoire secrète

Tout d’abord, merci à Babelio et à Masse critique pour m’avoir envoyé ce livre.



Farid Alilat nous livre ici une passionnante biographie de celui qui fut l’homme fort de l’Algérie pendant de longues années : Abdelaziz Bouteflika. De son enfance au Maroc avec une mère protectrice jusqu’à sa chute en 2019, l’auteur dit tout sur celui qui a eu de multiples vies.



J’ai dévoré ce livre et je le conseille à tous ceux qui s’intéressent à la politique internationale mais aussi à l’histoire ou la géopolitique. J’ai découvert beaucoup de choses sur Bouteflika mais surtout sur l’histoire algérienne, comme la concorde nationale, le Printemps noir. Mon seul bémol : il faut parfois s’accrocher pour se souvenir de tous les noms qui sont évoqués.



Lisez-le ça vaut le coup !

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Bouteflika : L'histoire secrète

Journaliste à Jeune Afrique, Farid Alilat est spécialiste de l'Algérie. Il nous livre une passionnante biographie de Bouteflika, qui fourmille de révélations et d’anecdotes, consacrées à ce personnage hors norme de l’Algérie contemporaine et à la façon dont le pouvoir y est exercé.

Ce livre, est un travail de fourmi sur 20 ans, une longue enquête menée entre Alger, Oujda, Paris et Genève, semé d’anecdotes, de reportages dans les arcanes du pouvoir, d’entretiens et confidences menés avec de hauts responsables politiques et militaires, de diplomates, et de témoignages de proches et amis.

C’est un récit de la vie d’Abdelaziz Bouteflika menée par deux obsessions : conquérir le pouvoir et le garder à tout prix.



De son enfance au Maroc jusqu'à sa chute brutale, la vie de Bouteflika est un roman à rebondissements. Il a vécu plusieurs vies : député, ministre, président. Il a connu 8 chefs d’état français et 8 présidents algériens. Il a été chassé du pouvoir le 2 avril 2019 après 20 ans de règne.



Né en 1937 à Oujda, ville frontière du Maroc oriental, où ses parents originaires de la région de Tlemcen, avaient émigré. Son père sévère et absent, personnage douteux, entretenait des relations privilégiées avec la France et le Maroc, et avait reçu la Légion d’Honneur. Sa mère très fusionnelle et protectrice l’élève. A l’école, très doué en français et arabe, il est surnommé le fils de l’indic. Déjà à vingt ans, au cœur même de la guerre d’indépendance (à laquelle, à l’abri de la frontière, il n’a pas participé), Bouteflika voulait être président.

En 1958, il devient secrétaire administratif de Houari Boumediene, colonel de « l’armée des frontières » (base arrière de l’ALN) et membre du « clan d'Oujda ». Il le considèrera comme son père de substitution.

En 1962, il devient député de Tlemcen et ministre de la jeunesse et sports dans le 1er gouvernement de l’Algérie indépendante, sous Ben Bella. Puis à 26 ans, il deviendra son ministre des Affaires étrangères et ensuite celui de Boumediene. Bouteflika n’a pas la réputation d’être un acharné du travail. Il se rend rarement à son bureau. Il reçoit ses proches collaborateurs chez lui ou bien dans une des annexes du ministère. La lecture des dossiers l’ennuie. Il compense cela par le téléphone, une grande capacité de captation et une mémoire d’éléphant. Ses escapades, bouderies, fugues et disparitions inexpliquées (New York, Cuba, Paris, Genève) finissent par lasser. Il a une réputation de noceur, et mène déjà un train de vie dispendieux. Négligent, à la concentration limitée, il est souvent mis à l’écart des dossiers diplomatiques. Pourtant il gère la prise d’otages de l’OPEP à Vienne par Carlos et un dossier d’espionnage en France dans les affaires pétrolières (« Tony ») ; il préside l’AG des Nations Unies en 1974.

En 1976, lors de l’élaboration de la Constitution, Bouteflika voudrait qu’on y introduise le poste de vice-président, car il veut être le dauphin de Boumediene. Il devra attendre son heure (jusqu'en 1999).

Après la mort de Houari Boumediene, Chadli Benjedid est élu président le 9 février 1979. Il sera réélu deux fois en 1984 et 1989.

Bouteflika perd son ministère d’Etat pendant la présidence de Benjedid pour inculpation de détournement de fonds des ambassades algériennes à l’étranger. La cour des comptes le condamne à reverser les sommes dues. C’est la descente aux enfers. Commencent de 1981 à 1987 des années de traversée du désert. Il s’exile en Syrie, en Suisse, aux Emirats Arabes Unis, en France.



En octobre 1988, des manifestations eurent lieu avec la montée de l'islamisme . L'armée, fit plus de 500 morts.

De retour en Algérie en janvier 1987, Il est réhabilité en mars 1989, et est élu membre du comité central du parti unique. Il est pressenti pour occuper des fonctions de ministre, il décline ces propositions. Aux élections législatives de 1991, craignant de perdre le pouvoir et de voir la victoire du Front islamique du salut (FIS) , l'armée annula les élections, forçant le président Chadli Bendjedid à démissionner après 13 ans d’exercice.

Le pouvoir présidentiel est transféré au Haut Comité d’État (HCE) avec Mohammed Boudiaf qui sera assassiné 5 mois plus tard. Commence alors la Guerre civile qui oppose le FLN aux islamistes et qui durera jusqu’en 2002.

La nouvelle constitution entérine la fin du parti unique. En 1993, les généraux le sollicitent pour devenir président à l’expiration du mandat du HCE. Bouteflika négocie, Les militaires acquiescent à toutes ses conditions, mais Bouteflika refuse, d’être adoubé par la conférence nationale. Il claque la porte au nez des généraux. Il prend son vol pour Genève. Il attend son heure. Son ambition, et son obsession du pouvoir restent intactes. Le général Liamine Zéroual est élu en novembre 1995 et annonce en septembre 1998 une élection présidentielle anticipée à laquelle il ne sera pas candidat.

Cette fois, Abdelaziz Bouteflika, à nouveau pressé par les militaires, saisit sa chance. Il a raté à deux reprises d’être au pouvoir. Son ambition est restée intacte. Même à l’écart de cette décennie sanglante, il n’a jamais perdu espoir que les militaires le solliciteraient.

Il se révèle un tribun hors pair, théâtral, intarissable, et promet la fin de la corruption, du clientélisme, et du népotisme, se présente comme le rédempteur. Les 6 candidats opposés se désistent. Il veut un score supérieur à 62% sinon il menace de s’exiler à nouveau. Maître chanteur, arrogant, méprisant avec ses adversaires, de mauvaise foi, il obtient 73,8% des voix, Il est élu le 15 avril 1999 à 61 ans.

A son arrivée à la tête de l’Etat le président profite d’une période clémente grâce aux prix du pétrole en hausse. Bouteflika peut s’atteler au grand chantier de son premier mandat : la concorde nationale, son œuvre la plus remarquable.

Cette loi, propose l’amnistie des groupes islamistes qui rendent les armes, à condition qu’ils ne soient pas coupables de crimes de sang ou de viol. Grâce à la volonté générale d’en finir avec la violence de la décennie noire, la Charte pour la paix et la réconciliation nationale est adoptée par référendum à 90%.

La violente répression des Kabyles durant le "Printemps noir", d’avril à juin 2001 le fragilise. Depuis son arrivée au pouvoir, il a menacé maintes fois de rendre son tablier, notamment pendant cette crise.



Bouteflika veut interdire toutes les voix d’opposition dans les médias, ne place sa confiance que dans l’entourage immédiat, (surtout sa mère, la femme de sa vie et son frère Saïd). Il veut gouverner et décider seul. Son chef de gouvernement a peu de marge de manœuvre sur les dossiers (loi sur les hydrocarbures).

En 2004, Bouteflika a réussi à provoquer un schisme entre les deux têtes de l’institution militaire : il a divisé l’état-major et les services de sécurité (Général Lamari et Médienne, dit « Toufik »). Grâce aux fraudes massives, il est réélu à 85%. En novembre 2005 est hospitalisé en urgence à l’hôpital militaire du Val de Grâce, à Paris, pour un ulcère à l’estomac.

Il veut une présidence à vie, un pouvoir sans partage, sans contrôle, sans alternance. Il amende la constitution pour pouvoir se représenter une 3ème fois en 2009. Les oligarques financent la campagne électorale et en retour bénéficient de contrats juteux. Des scandales de corruption, de malversation, de dilapidation des deniers publics éclatent. (L’entreprise nationale d’hydrocarbures Sonatrach). Bouteflika promeut la corruption chez les élites pour mieux les contrôler et les asservir. Il est réélu avec 90% des voix.

En 2013, Bouteflika a tous les pouvoirs en main : Présidence, gouvernement, Assemblée nationale, armée, UGTA, oligarques, médias publics… tous les réseaux et tous les leviers pour être de nouveau réélu. Il veut mourir sur le trône, son frère Saïd veut peser sur sa succession, les hommes d’affaires veulent consolider leurs richesses et le clan garder le pouvoir. Alors qu’il apparait de plus en plus affaibli au fil des ans, le chef de l’État subit, en avril 2013, un important AVC. Une nouvelle fois, il est hospitalisé en urgence au Val de Grâce. Il rentre à Alger quatre mois plus tard, mais reste profondément marqué par ce nouveau problème de santé.

Maintenir Bouteflika au pouvoir, c’est l’assurance de ne pas devoir rendre des comptes. Tous ceux qui sont aujourd’hui en prison ont soutenu le 4e et le 5e mandats.

Une tentative de printemps arabe a lieu début 2011. Mais les manifestations ne durent que quelques mois et restent sans lendemain. Elles sont sévèrement réprimées, comme en Egypte ou en Libye.

Le pouvoir débourse 30 Milliards pour subventionner les produits de nécessité, des emplois offerts, des logements et réussit à étouffer, comme à son habitude, toute velléité de contestation sociale.



À 82 ans, le président algérien Abdelaziz Bouteflika, au pouvoir depuis bientôt 20 ans, est candidat à sa propre réélection. Malgré ses problèmes de santé et ses hospitalisations à répétition, il brigue son cinquième mandat à la tête d’un pays rongé par la corruption et le clientélisme. Avec la baisse du prix du pétrole et la dégradation de la santé du chef de l’Etat, les tensions sociales augmentent. Fin février 2019, des dizaines de milliers d’Algériens manifestent dans les grandes villes du pays, contre sa réélection.





Il est contraint d'abdiquer. L'armée, qui a fait appel à lui vingt ans plus tôt, lui donne le coup de grâce en le sommant de démissionner le soir du 2 avril 2019.

Il voulait mourir président, avoir des funérailles nationales et entrer dans la postérité, il finit seul en exil, sans son frère cadet Saïd, jeté en prison en mai 2019 pour complot contre l'armée et l'Etat. Tebboune est élu le 12 décembre 2019.



Ancien membre de l’ALN, député, ministre, exilé, président, Bouteflika aura tout connu du système politique algérien.



Ecrit d’une plume alerte, ce livre de 400 pages se lit aisément, même s'il souffre de quelques petites redites. Les chapitres sont courts et le style est vivant. L’essentiel est vraiment dans ce travail de recherche et de reconstitution du parcours d’Abdelaziz Bouteflika, glaçant personnage. La lecture de ce livre nous éclaire sur les ressorts de la mécanique du pouvoir algérien. C’est une plongée dans ses secrets. Les 20 ans de règne du clan Bouteflika ont non seulement organisé la dilapidation de la rente pétrolière, le pillage généralisé mais aussi fait perdre des compétences et un temps précieux pour le développement du pays.

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Idir, un Kabyle du monde

De son véritable nom El Hamid Cheriet, Idir est à la fois auteur, compositeur et interprète. Fils de berger algérien, rien ne le prédestinait à la chanson, même si son milieu familial l’a toujours baigné dans l’univers magique des contes et de la poésie, une société culturelle orale qui possédait la capacité de regénérer les histoires et de ciseler les mots. Des études en géologie le destinaient à une carrière dans l’industrie pétrolière, dont il s’est rapidement détourné pour suivre son chemin de bohème et répondre aux sirènes de la radio. Au pied-levé, il a remplacé la chanteuse Nouara, malade. Le succès a été immédiat.
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Bouteflika : L'histoire secrète

Ce livre retrace la vie de cet homme qui n'avait aucune disposition pour devenir Président à part son ambition immense, favorisée par sa mère et ses frères.



Un homme né au Maroc, marqué par la mort de son père dans des circonstances étranges et qui, très vite, va montrer son côté volage et pigeon voyageur dès son entrée dans l'Armée de Libération Nationale.



Il était mégalomane, vindicatif, imprévisible, frivole, narcissique, pervers, méfiant, rancunier, suffisant, fainéant, boudeur, noceur, menteur, profiteur et pourtant, il a réussi à garder le pouvoir pendant 20 ans.



Bouteflika et sa clique n'ont rien réalisé de grandiose pour un peuple qui n'a que trop souffert du clientélisme, de la corruption, du népotisme, d'une armée qui se croit tout permis et des puissances étrangères qui laissent faire pour pouvoir partager le magot.



Entre le radicalisme des uns et l'incompétence des autres, il est temps d'organiser des élections dignes de ce nom auxquelles participeraient de véritables hommes d'Etat, encore faut-il connaître cette notion pour construire un Etat muni d'une constitution qui ne se fera pas détricotée au gré d'hurluberlus indignes d'une nation à diriger et qui traînent des casseroles à chacun de leurs pas.



Un livre rédigé sur base de témoignages multiples, qui retrace chronologiquement tous les événements majeurs et centré sur le personnage d'Abdelaziz Bouteflika. Un livre complet qui se lit comme un roman policier tellement le lecteur est pris dans cette lutte contre les multiples injustices que la population doit affronter et subir depuis des dizaines d'années.
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Bouteflika : L'histoire secrète

Aujourd'hui je vous retrouve pour parler Histoire et politique à travers le très bon travail de Farid Alilat  qui a publié Bouteflika, l'histoire secrète aux éditions du Rocher en 2020. Je remercie chaleureusement les éditions du Rocher ainsi que Babelio qui m'ont permis de découvrir un aspect de l'Histoire que je connaissais peu grâce à l'opération Masse Critique.



J'étais ravie de recevoir cet ouvrage car l'Histoire est ce que j'apprécie le plus en littérature et aussi parce que l'Histoire de l'Algérie est un sujet que je maîtrise très peu. Lorsque l'on se plonge dans une oeuvre qui retrace les débuts d'un homme politique méprisé par tous ou presque, ce qu'on peut redouter le plus ce sont les excuses que certains auteurs trouvent pour cautionner les actes reprochés à cet homme politique. Bien heureusement, avec Farid Alilat, nous sommes bien loin du pathos et d'une succession de prétextes qui auraient pu excuser les actes de Bouteflika.



Le travail de Farid Alilat est remarquable, c'est avec justesse qu'il nous livre les premiers pas de Bouteflika en politique. Les faits, les dates, les révolutions se succèdent et c'est ce rythme saccadé qui peut paraître décousu dans un premier temps qui nous donne envie de continuer notre lecture et de lire cette oeuvre d'une seule traite.



La première moitié du livre traite des origines de Bouteflika, sa naissance au Maroc, la condition sociale de son père qui était vu comme un mouchard, sa relation avec sa mère et ses amis d'enfance. Tout cela est traité parallèlement aux problèmes socio-politiques de l'Algérie et des pays du Magreb d'une manière plus générale. C'est la guerre pour l'indépendance de l'Algérie qui va propulser Bouteflika, futur bachelier, dans la révolution et qui va le hisser à des postes plus importants au sein du gouvernement algérien. Cette première partie nous en apprend beaucoup sur l'Histoire et les relations internationales de l'époque (des années 1960 à nos jours). Bouteflika est décrit comme un arriviste, fêtard et surtout comme un personnage égoïste qui épouse une cause uniquement s'il trouve un quelconque intérêt pour sa propre personne. À une époque où l'Algérie se remet de plus de 100 ans de colonisation et de conflits internes, Bouteflika profite de la fragilité du gouvernement, de son bagou pour se faire désigner Ministre des Affaires étrangères. C'est avec consternation que l'on comprend vite que ce jeune ministre n'est autre qu'un profiteur qui dilapide l'argent du gouvernement et des contribuables pour faire la fête dans les capitales européennes. Il n'a de ministre que le titre et le comportement d'un adolescent qui veut profiter de la vie.



L'image que l'on peut se faire de Bouteflika au cours de notre lecture ne s'améliore pas, il en ressort majoritairement qu'il aime le pouvoir mais qu'il n'a aucun attrait pour le travail et que l'échec n'est jamais dû qu'à sa désinvolture et à son manque de rigueur. Il manipule les hommes politiques, est proche des différents présidents qui se succèdent et place ses billes au fil des années pour atteindre son but ultime : la présidence. La seconde moitié de cet ouvrage traite de l'exil de Bouteflika en Suisse et en France et de son retour en Algérie suivit de son ascension au poste de président.



Quand Bouteflika parle, il est intarissable. Il convoque le passé pour dessiner l'avenir, ou pour mieux souligner la faillite de ses prédécesseurs. Sa parole, il la diffuse aux quatre coins de ce pays qu'il n'a pourtant pas connu durant les vingt dernières années qu'il a passées à effectuer sa "traversée du désert". Comme si cet homme avait du théâtre toute sa vie, il sait mieux que quiconque capter l'attention des foules. Il les cajole puis les rudoie, les flatte pour ensuite les mépriser et les dénigrer, les blâmer, avant de réclamer leur indulgence pour les larmes et le sang qu'il leur réserve s'il est élu président.



Ce n'est clairement pas un portrait élogieux que dresse Farid Alilat, mais lorsque l'on termine notre lecture on se demande bien comment l'auteur aurait pu faire passer Bouteflika pour un homme politique de talent et sauveur de l'Algérie. C'est un ouvrage très bien écrit, et je crois que l'auteur a pris conscience que ses futurs lecteurs ne seraient pas tous forcément de grands connaisseurs de l'Histoire algérienne. Beaucoup de noms, de familles, de monarques se succèdent au fil des pages mais Farid Alilat fait l'effort de nous rappeler les liens entre les différentes personnes nommées, ainsi que les différentes périodes auxquelles nous avons déjà rencontré ces personnes lors de notre lecture. Ce procédé rend notre lecture d'autant plus facile et cela nous permet de garder en tête certains noms et les différents événements qui ont profondément marqué l'Algérie et son peuple.



C'est un ouvrage de qualité que je recommande vivement pour ceux qui voudraient connaître une partie de l'Histoire de l'Algérie et d'une manière plus générale une partie de l'Histoire mondiale à travers les différentes révolutions et changements qu'ont subi les pays du Magreb.
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