Ce jour-là, un soleil fiévreux déversait sa chaleur sur la terre et assommait tous les êtres vivants. Pierre marchait sans but précis. Il regrettait d'être parti si tôt, en ce début d'après-midi, évitait la fournaise et avançait sous le boisé frais que des chênes centenaires emmêlaient d'ombre et de lumière.