Outre l’épouse principale, l’existence d’une ou de plusieurs concubines se justifiait par la nécessité de s’assurer des héritiers afin de préserver la lignée si l’épouse elle-même n’avait pas de fils, et celle-ci était considérée comme la mère des enfants des concubines. Cette coutume du concubinage, et par la suite celle des maisons de courtisanes, ouvrait la voie à l’érotisme, admissible seulement dans la mesure où il ne mettait pas la famille en danger.