On ne sait pas la désagréable sensation d'être frôlé par un véhicule lancé à vive allure lorsque l'on est à pied ou à vélo, jusqu'à ce qu'on l'expérimente soi-même. D'ailleurs, quand je croise un marcheur ou un cycliste, nous nous saluons toujours. Mais ce salut n'est pas qu'une formule de politesse, il est un geste de solidarité témoignant du fait que nous sommes de ceux qui cheminent sur les routes.