Comme toute la police, il manquait de tout sauf de dossiers en cours. Il manquait de temps, d’hommes, de moyens, de soutien, de reconnaissance. S’il avait réussi à se passer de tout cela, lui, le flic, il le déplorait pour les victimes et leur famille qui demeuraient trop souvent la dernière préoccupation de la machine judiciaire.