Au cœur même du labyrinthe …
« Au cœur même du labyrinthe,
Il est des jours où le désir finit par suinter de nos doigts.
Alors on peut sombrer sans désespoir.
Obscur, ô flamme bleue ! »
Elle était ainsi.
Par les chambres de l’œil,
les signes allaient et venaient,
visitaient le bol renversé.
Derrière eux, semées, les questions :
« Quand donc s’enfuiront les spectres ?
Pourquoi l’effroi dans le filet ?
Peut-on revenir en arrière ? »