Il n’était pas pacifiste et, pour lui, la non-violence à laquelle croyait Vijay Vigadoo était une douce utopie. Depuis la nuit des temps, les hommes, les animaux, les plantes même s’affrontent jusqu’à la mort, mais aujourd’hui, ce n’étaient plus des lances et des épées, mais des bombes aveugles qui raseraient des villes, massacreraient les femmes et les enfants – y compris peut-être le sien – dans une hystérie de violence jamais atteinte.