ANNA
Quand je vivais là bas, je savais que l’arbre contre lequel je m’asseyais serait là le lendemain, je savais que le paysage ne partirait pas, que les branches des arbres ne changeraient ni de forme ni de place, que les rivières couleraient toujours dans la même direction
Alors quand tu te levais et que tu te déplaçais dans la maison, j’étais affolée…