Journalisme n'est pas littérature. Plutôt le maximum d'infos dans le minimum de mots. Aucun mot inutile, car un mot inutile prend la place d'une info utile. Enrichir le texte, oui. L'embellir, non. Comme ordonnait Georges Clemenceau, journaliste : "Une phrase française, ça se compose d'un sujet, d'un verbe et d'un complément direct. Et quand vous aurez besoin d'un complément indirect, venez me trouver."