Non seulement Jankélévitch ne prétendait dire sur quoi que ce fût le dernier mot, ni même l’avant-dernier, ce qui chez un philosophe se remarquait, mais encore allait-il jusqu’à dire qu’il n’y avait pas de dernier mot, qu’il n’y en avait jamais eu, qu’il n’y en aurait jamais, ni pour lui ni pour personne.