La France et la Belgique se défendent en affirmant ne soutenir que les rebelles "présentables" de l'Armée syrienne libre (ASL). Mais la distinction n'est pas toujours aisée avec les djihadistes. Quand elle a inauguré fin 2012 son commandement nord à Idlib, l'ASL a fait venir le cheikh salafiste Adnan Al-Arour, partisan de "hacher les alaouites et de donner leur chair aux chiens."