" des falaises drapées de bruyères roses ou cachées sous la chevelure des lierres vivaces, un jet hardi de pins clairsemés dont les troncs penchés évoquent la poussée des grands vents d'hiver. Longtemps, par une mer plate, nous restons devant le mirage fuyant de Bréhat ".
Théophile Caradec, "Autour des îles bretonnes"