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Il y a dans tous ces travaux théoriques une beauté qui peut difficilement être décrite. Certaines pages de Feynman sur ce que nous appelons les tourbillons dans l’hélium restent, après quinze années, présentes à ma mémoire comme un poème. Je pense aussi à l’article de Landau et Ginzburg, dans lequel le concept fondamental de superfluidité est retrouvé avec toutes ses conséquences.