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Critiques de Françoise Casaril (25)
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Un mariage poids moyen

Fin des années 70. Deux couples, un ménage à quatre. Un ring.

Le récit commence. Lentement au début puis, le combat s'annonce.



Séverin Winter (professeur de lutte et d'allemand, autrichien) marié à Edith (qui voudrait écrire, américaine)

Utchka (femme au foyer, autrichienne) épouse du narrateur (écrivain sans grand succès, américain).



Je suis entrée en résonance immédiatement avec les personnages. Ils sont si différents tous les quatre et tous tellement intéressants. Essayer de deviner ce qui se cache sous une répartie de l'un ou de l'autre. Trouver la motivation secrète de chacun (d'autant que certains ont un passé plutôt lourd qui ne peut qu'avoir laissé des traces). Chercher, au vu des tempéraments, qui voudrait faire faire un faux pas à l'autre (sont-ils vraiment gentils ?) Car c'est bien de cela qu'il s'agit, y-a-t il un plus fort, un meneur ? Tous sont-ils à égalité dans cette expérience ?



J'ai beaucoup aimé les deux confrontations : l'ancien continent versus l'Amérique, les écrivains (intellectuels ?) versus "les autres".



Le narrateur est l'homme-écrivain d'un des couples. Dès lors, on s'interroge sur son objectivité dans l'interprétation des sentiments de tout le monde. Jusqu'au moment où on en vient à se demander s'il l'était dans l'expression de son propre ressenti. Pouvait-il l'être ?



Peut-on jouer avec les sentiments ? Alors que le deal était simple et clair, personne ne devait en souffrir, les choses étaient dites. On s'aperçoit que la réalité dépasse les fantasmes, parfois.



Une petite précision, la couverture de mon exemplaire montre un homme seul, à terre, sur un ring, semblant mort. Dès lors, j'ai lu ce roman en me disant que cela ne pouvait que mal se finir. Et...



Vous verrez en le lisant :)



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Un mariage poids moyen

Se lancer dans un John Irving, c'est un peu pour moi comme une randonnée en montagne: de l'excitation au départ, la certitude de tomber sur des paysages marquants ou de vivre des expériences, un chemin attaqué d'un bon pas, puis il se met à faire froid ou à pleuvoir, arrive un coup de fatigue et un moment où on se demande ce qu'on fait là, mais au final il en ressort toujours quelque chose de positif. Parfois génial, parfois moyen.

On est plutôt dans le moyen avec ce roman des années 70 qui déroule un improbable chassé-croisé entre deux couples qui tentent à quatre une expérience aussi tentante que casse-gueule. C'est assez iconoclaste, chacun des quatre personnages est solidement campé et pourtant on s'essouffle rapidement après un démarrage fulgurant. Mais comme souvent chez Irving, qui a dit un jour construire ses romans à partir d'une image, l'histoire est illuminée de quelques plans sublimes, comme cette danseuse estropiée dansant sur un tapis de lutte ou la petite Utch sortant des entrailles d'une vache. Ce sont ces images qui me restent, et c'est déjà pas si mal.
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Un mariage poids moyen

Un écrivain au succès mesuré marié à une solide paysanne autrichienne ; un entraîneur de lutte court sur patte et massif marié à une écrivaine en herbe mince et gracile. Deux couples qui fonctionnent bien, mais qui ne sont pas très assortis. Aussi décident-ils de former un ménage à quatre et d’échanger régulièrement leurs partenaires.



Mais ce qui devait être une relation franche et transparente entre quatre adultes responsables est bien plus compliqué à organiser qu’il n’y paraît. Chaque participant, loin d’être sincère, cherche à soigner des blessures intimes bien enfouies, et en terme de partage, on est plus proche de quatre égoïstes qui cherchent à tirer toute la couverture de leur côté. Le poison de la jalousie n’est jamais loin non plus : et si son partenaire jouissait mieux avec l’autre ? Et s’ils se racontaient des choses tenues jusque là secrètes ? Et s’ils partageaient des points communs sur lesquels on ne pourra jamais rivaliser ? Comment gérer les facettes de son partenaire qui ne sont jamais apparues quand on était à deux, mais qui se dévoilent avec l’autre ?



Le récit est assez lent, l’auteur nous livre un portrait psychologique précis de ses quatre personnages. Ses thèmes récurrents (la lutte, Vienne, …) sont toujours bien présents, mais même s’ils apparaissent à chaque roman, ils ne lassent jamais et sont toujours pertinents. Le thème du roman m’a pris au dépourvu, mais une fois la surprise passée, j’ai pris beaucoup de plaisir à découvrir cette histoire qui paraît très réaliste.
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Un mariage poids moyen

Ayant accroché sur l'auteur, je me suis dirigé vers ses ouvrages les plus anciens.

Le style est déjà là, c'est plaisant, il y a beaucoup de passages drôles ou émouvants.

Après on est sur une thématiques 70's, liberté sexuelle et expérimentations diverses, un peu trop pour moi, mais c'est aussi une thématique récurrente de l'auteur (il n'y a pas que les ours, la lutte, Vienne et les orphelins!)

J'en garde néanmoins un bon souvenir, peut être pas l'Irving le plus grand public, mais c'est un bon livre
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Un mariage poids moyen

Pourtant, à un moment on se lasse, Irving se répète
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Un mariage poids moyen

Bof ... Je me suis prise à trois fois pour le lire.



La première fois c'était parce que je pensais aimer J. Irving ("le monde selon Garp"). Je ne sais pas si c'est lui ou moi qui ai changé mais il m'est tombé des mains.



J'ai fait une deuxième tentative un jour de disette.



Pas mieux.



Cette fois-ci c'est le challenge ABC qui m'a poussée à le terminer.



Sans ça il serait aller dans les cartons des livres dont je ne veux plus. D'ailleurs il va y partir quand même.



On ne peut pas dire que c'est inintéressant mais c'est terriblement déprimant, mou, sans vie. Pourtant l'histoire est inventive, originale, pleine de rebondissements, de personnages secondaires truculents mais ça ne fonctionne pas du tout ... En tous cas de mon point de vue, qui est loin d'être une référence.
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Un mariage poids moyen

Troisième roman de John Irving et dernière oeuvre avant l'explosion du Monde selon Garp. Il s'agit, si je ne m'abuse, du roman le plus court de l'auteur (300 pages tout de même en version brochée), mais sa lecture m'a paru, à l'époque de sa sortie, bien longue.



En fait, on y trouve de plus en plus tous les thèmes principaux de Garp (la vie de couple, le sexe et l'identité sexuelle, l'université et la Nouvelle-Angleterre en toile de fond), mais le mélange n'est pas encore au point.



Lire la suite de ma critique sur le site Le Tourne Page
Lien : http://www.letournepage.com/..
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Un mariage poids moyen

Ah, tout le contraire de ma précédente lecture (Check-point de Rufin où je reconnaissais m’être méprise au sujet de l’auteur) : ici, c’est l’auteur, habituellement excellent, qui me déçoit. Au point de me demander, sauf sur la fin du roman, si j’ai vraiment un John Irving entre les mains.



Certes, le livre m’était gratuitement offert à l’achat de deux autres mais ce n’est pas une raison !



L’histoire est donc celle de deux couples dont Irving nous relate, au fil des pages, comment ils sont arrivés à cette situation d’échangisme sur fond de lutte, sport hautement répandu aux Etats-Unis.



L’histoire est relativement creuse, bien loin de celles habituellement contées par Irving. L’intrigue, pour autant qu’il y en ait une, est très lente et très répétitive, vive les scènes de sexe en tous genres, tous nombres entre un et quatre, tous lieux et toutes positions, et ce à répétition. A dose intelligente, cela sert le récit. Ici, cela l’appauvrit.



Même les personnages sont très creux : un lutteur par procuration, un écrivain raté, une bourgeoise et une villageoise (qui doit sa vie à un ingénieux stratagème pour survivre à l’envahisseur russe). Irving les dépeint très maladroitement, très superficiellement. Seules les dernières pages me font retrouver l’auteur tel que je le connais dans sa sensibilité et dans la profondeur des profils psychologiques de ses personnages.



Même la traduction laisse, par moments (franchement : « une tête de mieux que » au lieu d’une tête de plus), à désirer.



Bref, une déconvenue.



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Véra va mourir

Après un début laborieux : une foison de personnages où je ne retrouvais plus le fil, la situation s'est mise en place dans ma tête et je n'ai plus quitté ce livre, jusqu'à veiller tard le soir, pour connaître le dénouement de cette palpitante intrigue. Je ne connaissais pas Ruth Rendell et je vais y repiquer.
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Véra va mourir

L'histoire est intéressante, et m'a plu, ainsi que le dénouement, mais elle ne restera pas dans le palmarès, malgré tous les travers particuliers des protagonistes.

A noter quand même les tournures de phrase que j'ai trouvé très alambiquées parfois (mais je suppose que c'est du à la traduction française d'un langage compliqué en anglais) avec aussi beaucoup de confusion sur les personnages lors de la lecture, l'arbre généalogique en début de l'oeuvre est effectivement très bienvenu.
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Véra va mourir

premier roman que j'ai lu de Ruth Rendell, il est excellent... son meilleur peut être !
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Un mariage poids moyen

Le roman se passe dans les années 70. Deux couples, d'une part, Severin et Edith Winter et d'autre part le narrateur et sa femme Utchka vont après accord décider d'un échange de partenaire. Des règles strictes seront alors élaborées avant le passage à l'acte. Mais petit à petit et malgré la liberté de chacun, les rapports vont devenir conflictuels et compliqués...

Irving mêle l'époque contemporaine, celle de cette échange pour le moins cocasse, avec des rappels sur le passé en Autriche de Utchka.

On retrouve ici des thèmes qui seront présents dans "Le monde selon Garp": la vie universitaire, la lutte, la vie de couple... mais le tout m'a paru long et parfois même ennuyeux, alors que ce roman est plutôt court.

Un des premiers écrits d'Irving, que je déconseille comme première approche de l'auteur, qui a par la suite fait nettement mieux (à mon avis).
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Un mariage poids moyen

Ce livre faisait partie des rares romans de John Irving que je n'avais pas encore lus.



Il y décortique un ménage à quatre : deux hommes échangent leurs femmes dans la transparence la plus totale : chaque mari couche avec la femme de l'autre. En filigrane, le narrateur s'interroge sur le passé de chaque personnage et y cherche les racines de cette liaison adultère symétrique. Deux des personnages sont autrichiens, les meilleurs passages sont à mon avis les flashbacks qui se situent en Autriche...



http://leslecturesdeclarinette.over-blog.com/article-2907855.html
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Un mariage poids moyen

C’est l’histoire de deux couples dans l’Amérique des années 1970. D’un côté il y a Edith et Séverin, elle enseignante et romancière à ses heures, lui héritier d’un obscur peintre autrichien et entraîneur de lutte. De l’autre côté il y a le narrateur et sa femme Utchka, « petit veau » en russe, surnom donné par le soldat russe qui l’a extirpée du ventre de la vache dans lequel sa mère l’avait cachée juste avant la libération de son village natal en Autriche, au printemps 1945. Alors qu’Edith et le narrateur s’échauffent dans des débats littéraires, Séverin et Utchka font connaissance, découvrent qu’ils ont tous deux vécu enfants dans le secteur russe de Vienne, et bien sûr se plaisent. A ces jeux de séduction vont succéder des échanges réguliers de partenaires, acceptés mais néanmoins organisés, qui vont peu à peu engendrer rancœur et jalousie et qui vont mener vers le fiasco final de la séparation…

Si les ingrédients d’un excellent roman de John Irving sont déjà réunis dans cet opus de jeunesse, paru plusieurs années avant Le monde selon Garp, le fait qu’une bonne partie du texte soit consacré aux ébats sexuels des uns et des autres lui enlève à mes yeux beaucoup de son intérêt, car de drôle et tragique le roman devient ennuyeux et un tantinet malsain -à mes yeux.
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Un mariage poids moyen

Nul.

Non je rigole, je ne vais pas mettre ça comme critique. Mais c'est quand même ce que j'ai pensé en le lisant. Ce n'est pas que le livre en lui même soit particulièrement mauvais, il est juste...banal. Sans doute parce que j'ai beaucoup aimé les autres romans de John Irving que j'ai lu. Celui-ci ne m'a pas conquis.e, je l'ai trouvé trop plat et franchement fade comparé aux autres.

Heureusement que je n'ai pas commencé par lui, je ne serais pas forcément allé.e voir les autres livres de cet auteur.

On finit sur un point positif : l'histoire de la vache ressemblait plus à l'univers de John Irving et m'a amusé.e
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Un mariage poids moyen

J'abandonne - ou je suspends ? - la lecture à la page 85. C'est pourtant pas mal écrit, il y a un humour sous-jacent assez constant mais je crois que le sujet ne m'intéresse guère (apparemment des relations croisées entre 2 couples) traité de manière rétrospective (le narrateur revient sur cette histoire et fait le récit de l'histoire de chacun des personnages). A part une scène digne du Tambour ( Günter Grass), j'ai trouvé l'histoire assez ennuyeuse, ce récit de vies pourtant secouées, chaotiques, originales.. assez plat, sans beaucoup de relief et on sent trop je trouve que cet échange entre adultes consentants ne va pas bien se passer. Cela vient peut-être de moi ?

C'est le 3ème livre publié de J Irving (1974), sorti en français en 1984 (après le succès, pourtant écrit après celui-ci, du Monde selon Garp, qui déclenchera la traduction de ses autres livres, y compris les 1ers qui sont semble-t-il moins bien).

J'avais déjà lu l'Epopée du Buveur d'Eau (antérieur aussi au Monde selon..) qui ne m'a pas laissé un souvenir impérissable, c'est le moins que je puisse dire. La lecture, après la mienne, des autres critiques, confirme mon intuition et ne me donne pas très envie de continuer.

Je me demande si chez John Irving le meilleur n'est pas les bons titres (en tous cas en français) de ses livres..?
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Le Royaume des moustiques

Paul Edward Theroux, né d'un père canadien français et d'une mère italo-américaine dans le Massachusetts en 1941, est un écrivain et romancier américain connu pour ses récits de voyage : Railway Bazaar (1987), Patagonie Express (1988), La Chine à petite vapeur (1989)… Par contre, Le Royaume des moustiques (The Mosquito Coast) paru en 1983, est un roman qui a fait l'objet d'un film du même nom (1986), dirigé par Peter Weir, avec Harrison Ford, Helen Mirren et River Phoenix.

Si je connaissais bien Paul Theroux pour ses récits de voyages, c’est la première fois que j’ouvrais l’un de ses romans. Qui par parenthèse, s’apparente à un voyage lui aussi.

Dans la famille Fox, nous avons le père, Allie, un inventeur qui ne manque pas de génie, la mère, discrète et effacée, deux fillettes jumelles, deux fils, Jerry et Charlie l’ainé et narrateur du récit, treize ans. Poussé par sa haine de la civilisation consumériste, Allie va entrainer sa famille dans un périple fou et dramatique, abandonnant les Etats-Unis pour le Honduras, sa jungle profonde et sa nature récalcitrante, espérant y trouver un nouvel Eden loin de toute civilisation corruptrice.

Au début, même si Allie (« le Père ») n’est pas réellement sympathique, on s’émerveille devant son sens pratique, son art pour bidouiller des inventions presque géniales avec des machins et des trucs ramassés ou trouvés ici et là. Je dis « presque » géniales, car si elles le sont on devine déjà un esprit un peu particulier, le genre de type qui se fourre de lui-même et sciemment dans les ennuis mais qui par un sens aigu du bricolage tout terrain, se sort de son pétrin et en met plein la vue par ses trouvailles techniques à bas coût. Une grande gueule, une énergie phénoménale, des connaissances pratiques encyclopédiques, bref l’homme subjugue autant son entourage que sa famille qui le suit et lui obéit au doigt et à l’œil, libre penseur il abhorre la religion et ses gamins ne vont pas à l’école, leur instruction étant assurée par leurs parents. Jusqu’au jour où, écœuré par son pays, trop consommateur, superficiel, envahi d’objets à l’obsolescence programmée, il abandonne tout et embarque toute sa troupe – mais sans donner la destination de ce voyage – vers la jungle hondurienne… Le lecteur tique devant l’aveuglement soumis du clan (« il nous faisait tous marcher à la baguette ») et son agacement ne va aller que crescendo au fur et à mesure que les aventures vont s’enchainer, creux et bosses se succèdent, les creux correspondant aux ennuis dans lesquels Allie les plonge et les bosses, les astuces avec lesquelles ils les en sort.

Plus le roman avance, plus le caractère tyrannique du père se révèle, un quasi gourou à la tête d’une mini-secte, dont pourtant le fils cadet puis le narrateur, finiront par se détacher, moins éblouis par ses tours de passe-passe (« Nous aurions pu lui raconter que nous avions appris l’inutilité de la plupart de son travail ») et plus tard quand ses mensonges seront dévoilés (les Etats-Unis auraient été rayés de la carte).

En poussant Allie dans une attitude extrême, l’écrivain dénonce les travers de l’époque (1983), d’un côté, le mercantilisme et le consumérisme à outrance de la société et de l’autre, ceux qui veulent combattre ces travers mais qui poussent le bouchon trop loin. Allie va trouver le moyen de polluer une rivière, lui qui prônait des idées écologistes et la vie au plus près de la nature… Emporté par sa folie et sa paranoïa, le Père comme le nomme les enfants, se prend pour Dieu mais un dieu encore plus fortiche, car « si l’on peut améliorer les choses, c’est que Dieu n’est pas réellement à la hauteur, non ? ». Il est rare que défier Dieu se fasse sans dommages…

Un bon roman – sans excès de louanges non plus – même si Allie m’a particulièrement exaspéré tout du long par son arrogance et son peu de considérations pour les siens.

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Véra va mourir

Commence remarquablement, avec des personnages bien campés, mais on s'enlise progressivement dans des aller-retour entre les époques et des digressions psychologiques. La fin est délayée au point de la rendre a peu près illisible. Que de talent gâché!
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Un mariage poids moyen

Pour être très sincère je n'ai pas vraiment aimé ce livre. Cela devait être croustillant, plein d'humour noir et je n y ai vu que deux couples pas merveilleux qui s’échangent pour redonner un peu de piquant à leur vie. Il parait que ses autres livres sont mieux.
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Un mariage poids moyen

bof....
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