Citation de PatrickCasimir
LA JEUNE FILLE PASSIONNEE : Il couvrit de baisers son visage, ses seins, ses bras, et il s'éloigna sans se retourner. Alors, parce qu'il n'avait pas osé prendre sa bouche, elle promena ses lèvres sur ses bras frémissants.
HYMNE DE L'EPOUSE DU BOUDDHA : Ô toi, le premier des hommes !
Ô toi, le plus beau des hommes !
Toi, dont le visage a l'éclat de la lune, et dont la voix est mélodieuse comme le chant du kalabinghâ, cet oiseau qui charma Brahmâ ! Ô toi, qui vis le jour dans le plus enchanteur des jardins, celui de Loumbini, éternellement sonore d'abeilles, Grand arbre de science, respecté par les mortels et par les dieux ! Ô toi, la plus douce des saveurs ! Ô mon époux, aux lèvres pourpres comme le jujube, aux dents étincelantes comme le givre, aux yeux de lotus , à la peau vermeille ! Ô mon époux, ô ma belle saison embaumée de fleurs ! Ô ma vendange et ma moisson !
Kantakâ, noble coursier, où donc l'as -tu conduit, mon époux ?
L'OUTRAGE : Il vient de la prévenir qu'il l'abandonne, car il aime une autre femme. Et sais-tu pourquoi elle sanglote ? Parce qu'il est parti sans la féliciter de sa nouvelle coiffure.
LA MORT : Parfums enivrants de la Volupté, sourires de l'Amour, gloire du soleil, splendeur des nuits étoilées, vous ne rassasierez plus mes désirs !
Filles de Lankâ, lataniers de Sârth, sources de Marâki, chansons du vent dans les cerisiers de Kamâl, je vous dis adieu !
HYMNE DE L'EPOUSE DU BOUDDHA : Ô toi, le premier des hommes !
Ô toi, le plus beau des hommes !
Toi, dont le visage a l'éclat de la lune, et dont la voix est mélodieuse comme le chant du kalabinghâ, cet oiseau qui charma Brahmâ ! Ô toi, qui vis le jour dans le plus enchanteur des jardins, celui de Loumbini, éternellement sonore d'abeilles, Grand arbre de science, respecté par les mortels et par les dieux ! Ô toi, la plus douce des saveurs ! Ô mon époux, aux lèvres pourpres comme le jujube, aux dents étincelantes comme le givre, aux yeux de lotus , à la peau vermeille ! Ô mon époux, ô ma belle saison embaumée de fleurs ! Ô ma vendange et ma moisson !
Kantakâ, noble coursier, où donc l'as -tu conduit, mon époux ?
L'OUTRAGE : Il vient de la prévenir qu'il l'abandonne, car il aime une autre femme. Et sais-tu pourquoi elle sanglote ? Parce qu'il est parti sans la féliciter de sa nouvelle coiffure.
LA MORT : Parfums enivrants de la Volupté, sourires de l'Amour, gloire du soleil, splendeur des nuits étoilées, vous ne rassasierez plus mes désirs !
Filles de Lankâ, lataniers de Sârth, sources de Marâki, chansons du vent dans les cerisiers de Kamâl, je vous dis adieu !
