Fénelon a été simplement, franchement, l'homme d'un temps où l'hérésie était considérée comme le « crime le plus énorme ». Fidèle serviteur du Roi et de l'Église, il ne pouvait pas désapprouver ouvertement la Révocation de l'Édit de Nantes, que peut-être il n'eût pas conseillée.