La Corse, mon fils, est comme une rivière au flot emporté. Les petites pierres forment du sable et tu n'as pas à t'en inquiéter. Les grosses sont la stabilité du rivage. Il ne faut pas les bouger. Mais les moyennes roulent et brisent tout sur leur passage. Elles se heurtent et se choquent. Voilà le danger.