Si le pèlerin a retrouvé sa vigueur, c’est parce qu’il répond à la quête essentielle de l’homme. Il invite à se rapprocher de la nature, que les citadins ont un peu oubliée. Il permet de se remettre en mouvement, alors que nous sommes de plus en plus sédentaires. Il nous réapprend la lenteur dans ce monde saturé de vitesse.