Citation de Bruno_Cm
Le trans-sibérien
Frédérique Honoré
Indications
Initier le changement
Projections dans le futur
Suggestion : on peut y oublier un bagage (encombrant, bien sûr) !
Avec le titre, on peut aussi suggérer le plaisir de se faire plaisir.
Métaphore utile pour la régularité des fonctions physiologiques, sur lesquelles nous n'avons pas d'emprise.
Il nous est arrivé à tous de voyager dans un train, rapide ou bien lent...
Nous avons tous repéré le bruit régulier des roues sur les voies de chemin de fer...
Nous avons tous été sensibles à ces sonorités, régulières, monotones, parfois soporifiques...
Alors, conscient qu'il s'agit d'un moment incompressible, certains travaillent, lisent ou regardent un film, tandis que d'autres s'autorisent à rêvasser, s'assoupir ou même, dormir...
Le train roule, divers paysages défilent, urbains, agricoles, cultivés ou forestiers, ou la mer, ou la rivière, ou une autre étendue d'eau...
Quel bonheur de se laisser bercer, emmener, pendant que le conducteur et ses ordinateurs s'occupent de tout...
Parfois, au milieu de nulle part, le convoi ralentit et s'arrête, un communiqué signale qu'on sépare des wagons qui doivent emprunter d'autres directions...
Le train est à l'arrêt, une annonce musicale indique une manoeuvre d'accroche d'un autre convoi muni de sa locomotive et l'ensemble, alors, gagne peut-être en force, puissance, dynamisme...
Un peu plus tard, dans une gare, des voyageurs quittent le train, emportant leurs affaires, tandis que d'autres montent et avant de s'asseoir, placent tranquillement leurs bagages...
Ainsi changent les visages... tout comme les paysages...
Et puis le rythme régulier reprend, constant, assidu, c'est bien réconfortant d'être ainsi transporté d'un endroit à un autre et sans même s'en occuper !
Frédérique Honoré
Indications
Initier le changement
Projections dans le futur
Suggestion : on peut y oublier un bagage (encombrant, bien sûr) !
Avec le titre, on peut aussi suggérer le plaisir de se faire plaisir.
Métaphore utile pour la régularité des fonctions physiologiques, sur lesquelles nous n'avons pas d'emprise.
Il nous est arrivé à tous de voyager dans un train, rapide ou bien lent...
Nous avons tous repéré le bruit régulier des roues sur les voies de chemin de fer...
Nous avons tous été sensibles à ces sonorités, régulières, monotones, parfois soporifiques...
Alors, conscient qu'il s'agit d'un moment incompressible, certains travaillent, lisent ou regardent un film, tandis que d'autres s'autorisent à rêvasser, s'assoupir ou même, dormir...
Le train roule, divers paysages défilent, urbains, agricoles, cultivés ou forestiers, ou la mer, ou la rivière, ou une autre étendue d'eau...
Quel bonheur de se laisser bercer, emmener, pendant que le conducteur et ses ordinateurs s'occupent de tout...
Parfois, au milieu de nulle part, le convoi ralentit et s'arrête, un communiqué signale qu'on sépare des wagons qui doivent emprunter d'autres directions...
Le train est à l'arrêt, une annonce musicale indique une manoeuvre d'accroche d'un autre convoi muni de sa locomotive et l'ensemble, alors, gagne peut-être en force, puissance, dynamisme...
Un peu plus tard, dans une gare, des voyageurs quittent le train, emportant leurs affaires, tandis que d'autres montent et avant de s'asseoir, placent tranquillement leurs bagages...
Ainsi changent les visages... tout comme les paysages...
Et puis le rythme régulier reprend, constant, assidu, c'est bien réconfortant d'être ainsi transporté d'un endroit à un autre et sans même s'en occuper !