Récit d’une merveilleuse liberté, avec ses adresses au lecteur ; ses invocations à la nature, ses brusques changements de décor, le livre de Borrow vaut aussi par une réflexion sur le langage, ses amboguïtés, l’attrait que peuvent exercer les dialictes minoritaires ou méconnus. C’est incontestablement l’un des livres majeurs du XIXe siècle anglais.
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