Quelle triste chose que la guerre !
[...] De temps à autre un engagement avait lieu çà et là ; le cercle de fer que formait l'ennemi était fermé autour de la ville et l'on sentait qu'il se resserrait de plus en plus.
Mais pourquoi restait-on inactif, pourquoi les chefs n'encourageaient-ils plus leurs hommes, pourquoi cet abattement général ?
On en sut bientôt la cause.
Les munitions manquaient. (p33)