Que vouliez-vous qu'une troupe qui n'a jamais manié un fusil, fasse en face d'un ennemi formé de longue date ? en beaucoup plus en nombre (sic). Il arriva ce qu'il devait arriver : nos mobiles quand ils voyaient l'ennemi fuyaient de toute part. Ajoutez à cela que les armes données à ces hommes étaient dans un état déplorable. M. Léopold Foulon me conta lui-même qu'il n'avait jamais pu tirer une cartouche avec son fusil malgré que son arme eût été plusieurs fois chez l'armurier !... Alors ?... (p.139)