“Ce mort qu’en toi je suis désormais
les yeux creusés
la mâchoire refermée par un linge
à mon tour un jour il me faudra le quitter
et le laisser à d’autres
sous d’autres traits, un autre jour
toujours les mêmes
le visage de notre père, de notre nuit
le secret que toujours nous voulions savoir
laisser à d’autres sa lumière
l’attente de le revoir”