Le pou ingère la bactérie de la maladie à partir du sang de son hôte humain, vecteur du rickettsia, ce qui l’infecte mortellement. Mais, entre l’infection et la mort, s’ouvre une fenêtre de tir pendant laquelle le pou diffuse la contagion. Si son hôte tombe malade, le pou – très sensible à la température du corps fiévreux – cherchera un nouvel hôte où trouver refuge.