En somme, pour Mishima la culture exprime un phénomène dont la substance se révèle immuable, qui se reproduit toujours sous les mêmes formes et qui n'est pas susceptible de progrès, d'amélioration ou de réforme. Les différentes vicissitudes par lesquelles elle passe ne sont pas dues à une altération de sa substance, mais seulement à une alternance de périodes de splendeur et de décadence.