Adoulis où un seul trône à l’abandon attestait les commencements de cette histoire tumultueuse, retomba dans l’obscurité dont elle était sortie près d’un millénaire auparavant, à l’époque helléniste. Seuls demeurent, pour nous éclairer, les manuscrits de Cosmas Indicopleustès, ainsi que plusieurs douzaines de trônes et d’inscriptions brisés sur le sol de l’Éthiopie.