De toute façon, ce bon vieux monde n’en avait plus pour
longtemps. Crises climatiques, migratoires, politiques, pandémies, guerres, cupidité. Il fallait être aveugle pour ne pas voir que l’effondrement était proche. Le feu d’artifice final allait bientôt tout emporter sur son passage.
Comme une dent que l’on arrache avec une tenaille. Un abcès purulent qui crève enfin. Le monde purgé de son pire cancer : l’horrible espèce humaine.