Ce besoin de jeunesse physique éternelle avait, chez elle, quelque chose d’attendrissant… Ceux qui la fréquentaient finissaient par ne plus y prêter attention et l’acceptaient, telle quelle, avec son petit travers. Celui-ci était largement compensé par une qualité suprême qui ne disparaîtrait qu’avec elle : le charme. Un charme fait de ses expériences amoureuses plus ou moins manquées, de l’éclat conféré par un passé artistique indéniable, d’une existence longue à demie réussie, de mille sentiments enfin qui n’avaient pu s’exprimer que par la danse.