Elle contempla les petites spirales de fumée qui tournoyaient autour de la main de Paul et songea aux scénarios possibles. Elle craignait de lui avouer que rien n’« arrivait » à la plupart des gens. Qu’ils vivaient simplement au jour le jour, jusqu’à leur mort. Qu’au bout d’un an après sa mort, probablement moins de cinq personnes penseraient à lui plus d’une fois par an. Qu’une année viendrait où personne sur Terre ne penserait plus à lui.