Je frappai à la porte, un toc-toc parfaitement ordinaire, pourtant résonnèrent alors partout alentour des échos sinistres, comme si j'avais cogné à la porte de l'Enfer à l'aide d'une batte de base-ball. Je me retournai, pris d'une forte envie de m'en aller et de rentrer chez moi. Mais je ne m'enfuis pas. J'étais discipliné. Quand on a frappé à une porte, on doit attendre qu'on vous réponde. (p.9)