Si bon nombre de trésors furent ainsi amassés au profit des amateurs des deux mondes, la passion de M. Hayashi n'eût pas été profondément ancrée, si elle avait bénévolement renoncé à sa part dans le butin. La vérité est que soigneusement, religieusement, M. Hayashi a dérobé à l'assaut des convoitises les œuvres les plus tendrement choyées, les défendant même contre les offres les plus éblouissantes.