Son amusement s’est vite dissipé, cependant, quand il a compris ce qui allait suivre : profitant de la violence de son coup pour amplifier la portée de mon mouvement, j’ai fait virevolter ma canne et en ai frappé son poing. Il a lâché son bâton avec une grimace de douleur très satisfaisante. Du pied, j’ai écarté son arme avant de placer le haut de la mienne sous son menton, le poussant en arrière juste assez pour que ce soit inconfortable.