Le sol est gris, la lumière est grise, le silence est profond, et il se sent bien seul et bien petit dans cette immensité souterraine.
Soudain, il s'arrête. Il est au bord d'un fleuve. Ses eaux sont du même gris que le sol et elles s'écoulent sans un son, si bien qu'il a du mal à discerner où finit le rivage et où commence la rivière. Il contemple l'eau, l'air songeur. Voici donc le Styx qui marque la frontière entre le monde des vivants et celui des morts...