On connaît Gargilesse village d’artistes, le festival de harpe, la maison de George Sand... C’est surtout l’autre face des lieux qui m’a touchée. L’envers du décor. Les ruelles silencieuses abandonnées les deux tiers de l’année aux rares habitants, aux chats, aux hellébores et aux pervenches groupées au bas des murs.