c'était vraiment l'été, mais un été sans ouverture sur la plaine, ni colonne d'azur, au loin, du côté du fleuve. Un été à soucis, où l'on n'entendait pas la respiration des campagnes et, au milieu duquel, tous les cinq, acharnés au travail, nous battions sur nos aires avec des visages sombres, parce que nous avions le coeur triste et que nous redoutions la puissance de la terre.
NDL : Les hommes battent le blé avec des fléaux