La critique avait été particulièrement flatteuse pour son tableau de concours. Elle y avait applaudi des qualités peu ordinaires en pareil cas, de lumière et d'air, de légèreté et de goût; elle avait remarqué la perfection du rendu des masses d'arbres, fruit manifeste d'une observation personnelle ; elle avait su deviner enfin que l'artiste devait avoir déjà vu d'autres cieux, car son site évoquai des impressions frappantes de réalité... Plus tard, il lui arrivera de traiter Alfred de Gurzon d' « académique », parce qu'il aura passé par Rome et aimé l'Italie.