Ces silences se prolongent, si lourds qu’on aimerait les faire éclater. Mais, déjà, elle a franchi la porte. Alors, on est malheureux, on étouffe. On voudrait qu’elle soit encore là, expliquer, l’embrasser. Mais elle est dans une rue, se hâtant vers le cabaret, et les vieux vont respirer fort quand elle sera nue dans la lumière de l’estrade.