Ces messieurs d’habitude se font faire de petites gâteries, aiment qu’on s’occupe de leur chinois comme d’une poupée fragile, une sorte de bébé qu’il faut flatter,
bercer, langer… Ou bien ils veulent qu’on leur cajole les deux orphelines avec des attentions maternelles, chacun ses petites manies, et des fois ça s’éternise, on s’ennuie ferme parce que c’est mou, mais on s’applique, puisque le client est roi.