Ne plus appartenir à un endroit qui a précédemment été chez soi était un sentiment perturbant. Il y avait des amis, des souvenirs, il connaissait le nom des rues, savait lesquelles étaient en sens unique, comment se rendre d’un quartier à l’autre, où se trouvaient les cafés, et qui fréquentait lesquels. Pas parce qu’il avait le temps ou l’argent pour traîner au café, mais parce qu’il s’agissait de connaissances en lien avec son travail.