Parfois la sensei me gronde, parfois elle sourit de mes gaucheries. Elle sait que je viens surtout parce que j'aime le goût du thé, pour le plaisir, et elle ne m'en veut pas. J'ai même l'impression qu'elle voit en moi la possibilité d'une détente, d'un moment un peu décalé, aux règles assouplies pour adapter le thé à un contexte international.