Plus je massacrais ces enfoirés, plus mes tripes bouillonnaient de plaisir. Qu'ils me frappent, me plantent, me brûlent, m'intoxiquent, tout ça, ce n'était rien face à l'insatiable frénésie qui me consumait. La chose qui pataugeait dans ce charnier n'était plus une créature, un monstre ou un hybride : j'étais devenu la vengeance incarnée, un messager de la mort (...)