Hugo di Verdura

Neuf nouvelles fort bien écrites parfois drôles et jamais vulgaires à forte connotation homosexuelle.

Dés le début je n’ai pas été pris dans cette histoire ! Pas de mise en situation, quasiment aucune description des personnages. Le livre terminé, je ne sais absolument pas à quoi ressemble le héros Emmanuel si ce n’est qu’il est blanc et qu’il est est épilé.

J’ai trouvé ce livre rempli de cliché sur les arabes et ça m’a dérangé, je l’ai trouvé désagréable sur certains points.

Le seul personnage que j’ai trouvé sympathique dans cette histoire est Nouri, que l’auteur fait passer pour un local un peu simplet qui a du mal avec la langue française, et qui d’un coup se met à parler comme Bernard Pivot. Ce qui provoque une certaine incohérence pour le lecteur. Le seul point positif, à mon sens, est quand le sujet du racisme contre les maghrébins est exposés.

Ce livre est le troisième de la collection des Éditions Gaies et Lesbiennes que je lis et c’est ma 3ème déception. Le livre aurait été plus long (il fait 125 pages), je l’aurais sûrement abandonné.
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