Le racisme et les phénomènes qui lui sont associés comme le fascisme, le colonialisme et l'impérialisme furent une préoccupation constante pour Sartre depuis ses premiers livres jusqu'à la fin de sa vie. D'un côté, le racisme était l'exemple le plus évident de la "mauvaise foi" et de ce qu'elle a précisément de "mauvais", puisqu'il consiste à nier l'humanité de certains à partir de caractéristiques physiques accidentelles et accessoires. En même temps, il était au cœur de la plupart des conflits politiques de son temps - de l'arrivée au pouvoir d'Hitler à la guerre du Vietnam. Le racisme n'était pas seulement son obsession, c'était l'un des principaux éléments lui permettant de lier l'écriture et l'action.
Le racisme et les phénomènes qui lui sont associés comme le fascisme, le colonialisme et l'impérialisme furent une préoccupation constante pour Sartre depuis ses premiers livres jusqu'à la fin de sa vie.
D'un côté, le racisme était l'exemple le plus évident de la "mauvaise foi" et de ce qu'elle a précisément de "mauvais", puisqu'il consiste à nier l'humanité de certains à partir de caractéristiques physiques accidentelles et accessoires. En même temps, il était au coeur de la plupart des conflits politiques de son temps - de l'arrivée au pouvoir d'Hitler à la guerre du Vietnam. Le racisme n'était pas seulement son obsession, c'était l'un des principaux éléments lui permettant de lier l'écriture et l'action.