Son job était le seul objectif auquel elle pouvait encore se raccrocher. Dès qu’elle laissait son esprit voguer ailleurs, l’envie de partir élever des chèvres dans les highlands écossais ou de se terrer chez elle jusqu’à la fin de ses jours gangrenait sa raison. Mais elle n’avait plus de « chez elle ». La seule idée de devoir trouver un nouveau logement avec son salaire de misère lui filait de l’urticaire.