Inutile de dire qu'il n'était pas le bienvenu dans la famille de François... Jusqu'alors, il y avait été accepté comme on tolère le chien favori de son fils ou de son frère, même s'il s'agit d'un vilain batard... C'était peut-être ça qu'il avait en commun avec Francine, en fin de compte, le mépris haineux des familles de ceux qu'ils avaient aimés. Une forme de complicité.