Le capitaine à bord n’a pas de harnais, il s’attache au winch et barre agilement aux déferlantes, je m’endors dans le vacarme assourdissant. Le lendemain matin, il est blanc de sel, épuisé. À son souhait, je reprends la barre pour un instant, je regarde les bouts avec lesquels il s’est attaché, je ressens le danger traversé.