Avant de danser, me vient l’idée des formes corporelles en cercles fermés. Quand je suis entre les musiciens, mes bras se plient au mouvement, comme par la tempête. La musique se fait de plus en plus résonnante, pour atteindre aux deux pianos, des sonorités percutantes, dans lesquelles je trouve une plénitude. J’existe pleinement et disparais de la scène.