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Citation de eTemporel


J'ouvris les yeux, le cœur battant à tout rompre, rassemblant mes esprits pour m'accroupir. Ce n'était pas le vent de la mer, ni la folie des prisonniers ; non. Ces bruits éveillaient des échos dans ma mémoire ; j'en avais déjà entendu de semblables. Des hommes en train de hurler des ordres et de rendre compte. La dernière fois que je les avais entendus, c'était à Sudfort, chez les Impardonnés, lorsque le capitaine Tarren d'Eltoine avait envoyé des cavaliers vers le nord pour aller quérir les gardes de Troyes-le-Mont. C'étaient les bruits d'une garnison sur le pied de guerre. Les lueurs d'une torche zébrèrent la nuit au-dessus de mon étroite fenêtre. Une voix appela en caerdicci.
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