Non que ce que l'on connaît déjà du cinéma de Bergman disparaisse - la réflexion sur l'art, la mise en abîme de la représentation, la réalité comme écran, le fantastique du quotidien, les méandres de l'imaginaire, la remise sur le métier des obsessions intimes, les changements de lumière à vue, la dramaturgie de la lumière, du cadrage et du gros plan- disparaisse du jour au lendemain.
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